RAOULT Patrick-Ange

Le travail est centré sur les problèmes de l’observation (situer les présupposés qui soutiennent la description des situations cliniques et les définitions implicites du corps en jeu, souligner en quoi la clinique suppose une observation impliquante). Le deuxième axe porte sur des questions méthodologiques (faire l’inventaire des techniques qui supportent la pratique, d’en aborder les filiations, d’en repérer les décalages au plan des justifications théoriques, ainsi que de spécifier la position du clinicien). Cet axe imprime le troisième axe, celui de l’épistémologie (place de concepts dans la clinique, leur articulation problématique avec la pratique. Les justifications théoriques, les amalgames, en particulier avec les théorisations psychanalytiques). L’accent est mis sur les modes d’appropriation du discours psychanalytique, sur l’hétéronomie, sur la vigilance épistémologique, sur la démarche heuristique et sur la transposition des concepts). De même est soulevé le problème de la narration clinique, pressentie comme fiction, et celui de l’observation comme effet de langage. Cette préoccupation épistémologique trouve un nouvel élan avec les questions autour des psychothérapies.

L’analyse de la notion de cadre thérapeutique vise à définir tant la situation contextuelle du clinicien (les paradoxes identitaires, théorico-clinique et professionnel et le travail du frontalier), que la mise en place d’une matrice de significations déterminée par les frontières posées ; elle consiste à explorer les fonctions du cadre, à préciser l’objet du processus, à instaurer un cadre de pensée. Ce travail mènera à un ensemble de réflexions sur l’institution. Le second thème, découlant de l’effet de l’instauration du cadre dans la transformation de l’agir en un travail d’élaboration psychique, est celui de l’objet, soit la corporéité. Les Processus psychiques au sein du cadre sont déployés ensuite. Le troisième thème vise à traiter de la question du temps comme travail de subjectivation (La problématique de la filiation comme entrée dans une chaîne temporelle menant à la sexuation, ainsi que la problématique de la corporéation, comme affectation singulière de la temporalité, menant aux images du corps). Un quatrième thème porte sur les problèmes d’extension du concept de transfert et d’identification.

Une autre orientation se fond à une réflexion sur la clinique (définir le travail de la pensée à l‘œuvre dans la clinique, le Souci clinique). Ce contexte permet l’approche de situations cliniques (le scopique, le travail de sémiotisation, l’originaire, les modes d’identifications primaires corporéisés). Ceci s’articule à une approches des diverses « médiations thérapeutiques » (des « praxis psychomotrices », des « pratiques intermédiaires » (éducatives, psychopédagogiques) aux différentes formes de « psychanalyse hors-les-murs » (groupes psychothérapiques, psychodrame, etc.) : source d’une mise au travail de la problématique du jeu, de la paradoxalité et de la transitionnalité dans leurs incidences techniques, cliniques et théoriques. La spécificité des médiations en psychologie clinique est traitée. Parmi celle-ci des cliniques de dispositifs : clinique institutionnelle, clinique du groupe, clinique de la médiation, clinique de la formation. Puis viennent des cliniques psychopathologiques : clinique de l’agir mais aussi les cliniques des pathologies (dépression, états-limites, psychoses). Les cliniques des domaines sont présentes, en particulier la clinique psycho-criminologique, j’y ajouterai la clinique sociale, éducative et pédagogique, venant en contre-champ d’une clinique psychiatrique. Enfin celle référent aux espaces sociaux : clinique des configurations familiales, et en horizon clinique de l’institution scolaire. Les perspectives de recherche portent dès lors sur la structuration du sujet en articulation avec les méta-garants sociaux dans une dynamique ouverte par René Kaës (1993, 1998, 2012), sur l’analyse des troubles psychopathologiques comme point d’effondrement de ces organisateurs avec des manifestations conçus sur le modèle de l’obscénalité de Bernard Duez, sur le contexte thérapeutique avec une référence à l’analyse transitionnelle de Didier Anzieu (1979) et sur la fonction symbolique du clinicien. L’orientation consisterait à soutenir un renversement consistant à instaurer la paradoxalité (J. Dor, 1988) et l’incompatibilité (B. Duez, 2003) comme fondement d’une épistémologie de la position clinique.

L’orientation centrale se précise de la place de la corporéité dans la structuration psychique, (une (trans)symbolisation des images corporelles dans laquelle le corps lui-même serait un médiateur déjà symbolisé et tout à la fois à symboliser). Cette problématique trouvera une première synthèse dans un ouvrage. La deuxième orientation est relative à la prise en compte des troubles de l’apprentissage et des difficultés inhérentes à la scolarisation dans sa dimension de socialisation. Ces troubles instrumentaux sont compris comme des défaillances de la corporéité. Le troisième registre est relatif à la problématique des agirs. Il s’agit de constituer une psychopathologie de la corporéité et une anthropologie de la corporéité qui trouvent leurs appuis sur une analyse de la violence livrée par la criminologie et la victimologie d’une part, et d’autre part sur les nouvelles modalités de subjectivation dans la postmodernité. Elle ouvre sur la clinique de la corporéité (clinique de l’agir, des expressions somatiques et des troubles de l’image du corps, clinique psycho-criminologique et de l’expertise, clinique de la consultation et l’examen)
5. Troubles de la socialisation, violences et psychopathologie : Les figures multiples de la violence subie ou agie, adressée à l’autre ou retournée contre soi, vont constituer une approche des pathologies de l’agir, en lien avec les défaillances de la corporéité, en partie synthétisée dans un ouvrage. Ceci implique un travail sur l’impact des diverses formes de traumatismes. L’approfondissement de cette thématique revient à cerner quelques aspects (l’acte transgressif et délictueux, la perversion, les sexualités, les états-limites, les toxicomanies, la psychopathie, les instabilités, etc.). L’approche de ces pathologies de la dépressivité et du narcissisme mène à aborder la question des pathologies et situations limites en clinique. Ceci est conjoint d’une approche de la clinique expertale. Ces cliniques sont sous-tendues par une intégration de l’impact des appareils psychiques groupaux et de la groupalité interne. De manière générale, il s’agit de la clinique des situations de vulnérabilité et de souffrance (conduites délictueuses et transgressives, aspects psychopathiques et pervers ; conduites d’errance et de marginalité, aspects mélancoliques et psychotiques ; conduites sexuelles et traits de perversion ; nouvelles formes psychopathologiques et états limites ; victimologie).

La précision et la différenciation de plusieurs fonctions au sein de la profession de psychologue, en rapport avec les champs d’exercice et la place occupée, en sont l’objet. Il s’agit de situer les invariants et les variables spécifiques à chaque fonction. Les fonctions sont celles de psychothérapeute (elle-même subdivisable en regard de l’orientation épistémique), de consultant (avec ses diverses figures dont celle d’évaluateur que ce soit dans un axe neuropsychologique, cognitif, social et/ou projectif), d’institutionnel, de formateur, de référent de stage, de coordinateur, de supervision, d’expert et d’enseignant-chercheur. Ces diverses questions ne peuvent se déployer que sur le fond d’une approche historique de la constitution et de la formation du corps des psychologues cliniciens. C’est dans cette perspective que je souhaite poursuivre la réflexion : analyse de l’histoire de la profession, de la professionnalisation, de ses contextes de formation et de ses conditions d’exercice. Elle suppose une réflexion sur la formation, l’adéquation avec les réalités sociales et la construction des dispositifs pertinents. Cela concerne le Méta-cadre de l’exercice professionnel et des professionnels eux-mêmes, conçus dans une affiliation, une historicisation, au sein

Raoult P. A. (2019), « Technologies, virtualité et perversion », Cliniques méditerranéennes, 99, 85-98.

Raoult P.A., 2010, « Les désétayages psychiques dans les agirs adolescents », Evolution Psychiatrique, 75, 2, 304-326.

Raoult P.A., 2006, « Pertinence de l’évaluation des psychothérapies », Bulletin de psychologie, T. 59, 6, 486, 561-564.

Raoult P.A., 2006, « Crise de la psychologie et devenir de la psychologie clinique », Pratiques psychologiques, 12, 4, 483-500.

Raoult P.A., 2006, « Psychologie clinique et criminologie » Bulletin de Psychologie, 2006, tome 59 (1) 3-5.

Raoult P.A., 2006, « Clinique et psychopathologie du passage à l’acte », Bulletin de Psychologie, 2006, tome 59 (1) 7-16.

Raoult P.A., 2006, « Figures de la dangerosité : de la momanie au serial killer », Bulletin de psychologie, 2006, tome 59 (1).

Raoult P.A., 2005 « La désespérance parentale aux prises avec la violence de la pathologie. Le suivi psychologique » Perspectives psychiatriques janv/mars, vol 44, 1, pp. 57-66.

Raoult P.A., 2004, « Psychologie clinique : quelles perspectives ? », Bulletin de psychologie, tome 57 (1), 469, pp. 123-126.

Raoult P.A., 1998, « Corporéité et dépressivité : figures de l’instabilité », Revue de Neuropsychiatrie de l’enfance et de l’adolescence, n° 10-11, 588-597 (9 p.)

Raoult P.A., 1994, « Pathologie de la subjectivation et séparabilité », Revue de Neuropsychiatrie de l’enfance et de l’adolescence, 8-9, 441-453 (12 p.)

Raoult P.A., 1988, « Cadre à penser ou cadre de pensée », 171-181 (10 p.), Perspectives psychiatriques, 13, III.

Revue nationale avec Comité de lecture
Raoult P.A., 2006, « Temporéisation, temporalité et temporalisation en psychanalyse. Les figures du temps dans le travail de C. Stein », Cliniques Méditerranéennes, 73, 1, 231-253.

Raoult P.A., 2007, « Scientisme et technicisme en psychologie », Psychologie clinique, 23, 117-131.

Raoult P.A. (2019), Un défi dans un contexte hostile : le master co-accredité de psychopathologie clinique psychanalytique des universités de paris V, VII, XIII, Université Paris VII-Diderot, A paraître Psychologues et psychologies.

Raoult P. A. (2018), Les psychologues en expérimentation : un marché de dupe ? Psychologues et Psychologies, 258-259, 028-033.

Raoult P. A. (2018), De quelques motifs d’un doctorat pour l’exercice, Psychologues et Psychologies, 258-259, 14-17.

Raoult P.A. (2017), L’isolement, passage à l’acte soignant ?, Revue Santé Mentale, 210, 50-55.

Raoult P.A., (2017), Déni et besoin de la clinique au sein de l’institution scolaire, Psychologues et Psychologies, 249, 025-035.

Raoult P.A. (2016), La fécalisation du corps dans l’agression sexuelle violente de l’adolescent, Revue Psychologues et Psychologies.

Raoult P.A. (2016), La honte et l’exil : questions sur les mineurs étrangers isolés, Revue Psychologues et Psychologies.

Raoult P.A. (2016), Le drame de la jalousie, Revue Santé Mentale, 207, 7 pages.

Raoult P.A. (2016), Le viol adolescent et les impasses de la subjectivation, revue Psychologues et Psychologies.

Raoult P. A. (2015), Corruption et confusion dans les liens entre soignants, Revue Santé Mentale, Hors série, Août, 2-7.

Raoult P.A., (2015). « Master ou doctorat : pour une qualification professionnelle des psychologues ». Journal des psychologues, 329, 11-14.

Raoult P.A., (2015). « Corruption et confusion dans les relations professionnelles ». Santé mentale, 196, 2-7.

Raoult P.A., (2015). « L’agir psychopathique : un acte terroriste ». Santé mentale, 194, 36-41.

Raoult P.A., (2015). « Du supérieur hiérarchique des psychologues ». Journal des psychologues, 324, 11-15.

Raoult P.A. (2014), Agirs en institution, Revue Santé Mentale, 165, 5 pages.

Raoult P.A. (2014), Le soignant face à l’agitation et à la violence, Santé Mentale, 187, 66-70.

Raoult P.A. (2014), Expérimentation, co-formation, masterisation, stagiairisation : une logique de l’impasse ? Revue Psychologues et Psychologies.

Raoult P.A., P. Le Malefan, et Als, (2013). « Formation des psychologues : ambitions et perspectives ». Journal des Psychologues, 305, 8-12.

Raoult P.A., (2013). « Groupe de relaxation. Trois opérations psychiques dans la clinique des médiations ». Bulletin de psychologie, 526, 289-302.

Raoult P.A., C. Vacheret, C. Joubert, (2013). « Pour une Clinique de la groupalité psychique ». Bulletin de Psychologie, 526, 275-279.

Raoult P.A., (2012). Agirs en institution. Santé Mentale, 165, 37-41.

Raoult P.A., (2011). « Les fonctions professionnalisantes du stage de formation ». Psychologues et psychologies, 216, 13-17.

Raoult P.A., B. Blanquet, (2010). « Soutenir une position clinique, dépasser une fonction technique ». Journal des Psychologues, 276, 22.

Raoult P.A., (2010). « La praxis clinique comme crise épistémique ». Journal des Psychologues, 276, 24-27.

Raoult P.A., (2010). « L’éphébophilie : agir pervers ou solution narcissique ». Journal des Psychologues, 276, 49-55.

Raoult P.A., (2010). « Les désétayages psychiques dans les agirs adolescents ». Evolution Psychiatrique, 75, 2, 304-326.

Raoult P.A. (2009). « Qui croire ? Les figures de la mise en ordre des psychologues ». Journal des psychologues, 267, 6-9.

Raoult P.A., (2009). « Violence et passage à l’acte ». Journal des Psychologues, 263, 18-23.

Raoult P.A., (2008). « Primatologue ou clinicien : formation clinique en psychologie ? ». Psychologues et psychologies, Dossier Quelle formation pour l’avenir des psychologues ? 201/202, 83-87.

Raoult P.A., (2007). « Désordre psychologique, réductionnisme et mise au pas ». Psychologues et psychologies, 1994/195-2, 18 -22.

Raoult P.A., (2007). Recours à l’acte et destructivité. Cahiers du CRPPC, Université Lyon 2, 18.

Raoult P.A., (2007). « Du trouble des conduites des psychologues ». Actes de la conférence de l’Association Grandir. Chambéry.

Raoult P.A., (2007). « Distinctions cliniques des agirs à l’adolescence ». In Violences et adolescence. Actes du colloque 2006 de Valence.

Raoult P.A., (2007). « Scientisme et technicisme en psychologie ». Psychologie clinique, 23, 117-131.

Raoult P.A., (2006). « Temporéisation, temporalité et temporalisation en psychanalyse. Les figures du temps dans le travail de C. Stein ». Cliniques Méditerranéennes, 73, 1, 231-253.

Raoult P.A., (2006). « Pertinence de l’évaluation des psychothérapies ». Bulletin de psychologie, T. 59, 6, 486, 561-564.

Raoult P.A., (2006). « Crise de la psychologie et devenir de la psychologie clinique ». Pratiques psychologiques, 12, 4, 483-500.

Raoult P.A., (2006). « Psychologie clinique et criminologie ». Bulletin de Psychologie, 2006, tome 59 (1) 3-5.

Raoult P.A., (2006). « Clinique et psychopathologie du passage à l’acte ». Bulletin de Psychologie, 2006, tome 59 (1) 7-16.

Raoult P.A., (2006). « Figures de la dangerosité : de la momanie au serial killer ». Bulletin de psychologie, 2006, tome 59 (1).

Raoult P.A., 2005 Modèles professionnels, responsabilité et éthique en psychiatrie, Actes de l’Université Européenne d’été, Université Paris VII, pp. 72-78.

Raoult P.A., (2005). « La désespérance parentale aux prises avec la violence de la pathologie. Le suivi psychologique ». Perspectives psychiatriques, janv/mars, vol 44, 1, pp. 57-66.

Raoult P.A., (2005). « Psychothérapie et psychologie clinique ». Journal des psychologues, 227, 6.

Raoult P.A., (2004). « Le C.E.R.P.P. un processus de désaffiliation ». Thérapie Psychomotrice, Numéro spécial : Filiations, transmissions et héritages en psychomotricité.

Raoult P.A., 2004 La violence, une passion de l’acte In Etats de violence, Université Paris VII (Coord. R. Samacher), université Européenne d’Eté, Violences dans la modernité, Actes, p. 193-204 (11 p.)

Raoult P.A., (2004). « Psychologie clinique : quelles perspectives ? ». Bulletin de psychologie, tome 57 (1), 469, 123-126.

Raoult P.A., (2004). « Introduction à quelques prospectives sur les fonctions des psychologues cliniciens ». In De la disparition des psychologues cliniciens, P.A. Raoult (coord.), Paris, L’Harmattan, p. 95-200.

Raoult P.A., (2002). « Représentation fictionnelle des parents et maturation psychique de l’enfant ». Lire, écrire à l’école, CRDP de l’Académie de Grenoble, 18, 17-20.

Raoult P.A., (2000). « Des liens entre praticiens, universitaires et fonctions institutionnelles ». Psychologues et psychologies, 158/159, 30-38.

Raoult P.A. (2017), Comprendre et soigner la jalousie, Paris, Dunod.

Raoult P.A. (2016), Clinique du corps et de l’acte. Devenir psychologue. Tribulations professionnelles d’un praticien chercheur. Paris, L'Harmattan.

Raoult P.A., (2013). Le corps du crime. Grenoble, PUG.

Raoult PA., (2008). L’agir adolescent criminel. Grenoble, PUG.

Raoult P.A., (2007). Guérir de ses blessures adolescentes. Paris, Editions Eyrolles.

Raoult P.A., (2003). Voir les choses en face. Paris, Editions La Martinière.

Raoult P.A., (1998). Cadre, corporéité et signifiance. (2 tomes), Lille, Presses universitaires du Septentrion.

Raoult P.A. (2017), Violence et Malêtre, Paris, Dunod.

Raoult P.A., Blanquet B. (Eds), (2016), Rage et violences adolescentes. Paris, In Press.

Raoult P.A.(Eds), (2015). Jalousie(s). Paris, In Press.

Raoult P.A., Labrune L. (Eds), (2014). La honte à l’adolescence. Paris, In Press.

Raoult P.A. (Eds) et Al., (2005). La psychologie clinique et la profession de psychologue. (Dé)qualification et (Dé)formation. Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A. (Eds) et Al., (2004). De la disparition des psychologues cliniciens. Luttes et conflits. Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A. (Eds) et Al., (2002). Le sexuel et les Sexualités. Destins pulsionnels en pathologie. Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A. (Eds) et Al., (2002). Le sujet post-moderne. Psychopathologie des Etats Limites. Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A. (Eds) et Al., (2002). Passage à l’acte : entre perversion et psychopathie. Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A., (2001). Psychologie clinique, psychanalyse et psychomotricité. Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A. (Eds) et Al., (2000). Le transfert en extension. Dérivation d’un concept psychanalytique. Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A. (Eds) et Al., (1999). Souffrances et violences. Psychopathologie des contextes familiaux. Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A., Sterenberg D. (2018), Les adolescents incasables: un dispositif d’accompagnement, le sati., In B. Smaniotto, N. Dumet, La pratique psychologique avec des adolescents : 15 dispositifs originaux, In Press. 277-297.

Raoult P.A. (2017), Désaffiliations et discriminations : les violences fanatiques des exclus, in A. Yahyaoui, L’adolescence à l’épreuve de la stigmatisation, Paris, In Press. 157-175.

Raoult P.A. (2017), Le concept de malêtre dans l’analyse de la problématique de la violence, in P.A. Raoult, Violence et Malêtre, Paris, Dunod, 1-20.

Raoult P.A. (2017), Humiliation narcissique, prothèses identitaires et radicalisation, in P.A. Raoult, Violence et Malêtre, Paris, Dunod, 133-194.

Raoult P.A. (2017), Conclusion, in P.A. Raoult, Violence et Malêtre, Paris, Dunod, 195-197.

Raoult P.A. (2016), Introduction. Violence, colère, rage, terreur, In P.A. Raoult, B. Blanquet, Rage et violence adolescentes, Paris, In Press, 11-18.

Labrune L., Raoult P.A. (2015), La jalousie dans tous ses états, in L. Labrune, P.A. Raoult, Jalousie(s), Paris, In Press, 11-19.

Raoult P.A. (2015), Formes et configurations des affects de jalousie, in L. Labrune, P.A. Raoult, Jalousie(s), Paris, In Press, 25-81.

Raoult P.A. (2014), Prospectives à propos de la honte et du lien social, in P.A. Raoult, La honte à l’adolescence, Paris, In Press. 9-21.

Raoult P.A. (2014), Violences sexuelles, violences physiques et problématiques de la honte, in P.A. Raoult,, La honte à l’adolescence, Paris, In Press. 157-187.

Raoult P.A., (2013). « Clinique de l’acte chez une adolescente ». In Mareike Fédida, Phénoménologie et Criminologie.

Raoult P.A., (2012). « Figures de l’adolescent, auteur d’agressions sexuelles ». In A. Ciavaldini, Violences sexuelles chez les mineurs, In Press, Paris.

Raoult P.A., (2012). « La formation des psychologues ». In SNP, Livre Blanc. Présentation de la profession. Propositions pour son évolution.

Raoult P.A., 2009 « Paradoxes épistémologiques et incohérences professionnelles des psychologues ». in Etre psychologue II, P. Conrath, D. Gietgheluck, Hommes et Perspectives, 49-66.

Raoult P.A., 2009 « Paradoxes épistémologiques et incohérences professionnelles des psychologues ». in Etre psychologue II, P. Conrath, D. Gietgheluck, Hommes et Perspectives, 49-66.

Raoult P.A., 2007 Réiteration et répétition dans l’agir délictueux in Criminalité et récidive. Evaluation – clinique - thérapeutique – interculturel sous la direction de Philippe Bessole. Grenoble. PUG.

Raoult P.A., 2005 Le groupe, producteur d’idéologie, GRAPE, D. Baas, H. De Caevel (Eds) Au fil de la parole, les groupes pour le dire, Erès, p. 57-72.

Raoult P.A., 2005 Crise d’identité ou urgence d’exister Victimologie-Criminologie. Approches Cliniques. Situation d’urgence situation de crise. Clinique du psychotraumatisme immédiat. (coord. F. Lebigot/P. Bessoles), Editions Champ social p. 123-137 (14 p.).

Raoult P.A., (2005). « Débats en psychologie ». In La psychologie clinique et la profession de psychologue P.A. Raoult (coord.), Paris, L’Harmattan, p.13-18.

Raoult P.A., (2005). « La psychologie clinique a-t-elle encore un avenir ? ». In La psychologie clinique et la profession de psychologue P.A. Raoult (coord.), Paris, L’Harmattan, p. 19-47.

Raoult P.A., 2004, « Introduction à quelques prospectives sur les fonctions des psychologues cliniciens », 95- 200 (105 p.), in De la disparition des psychologues cliniciens, P.A. Raoult (coord.), L’Harmattan.

Raoult P.A., 2004 La violence, une passion de l’acte In Etats de violence, Université Paris VII (Coord. R. Samacher), université Européenne d’Eté, Violences dans la modernité, Actes, p. 193-204 (11 p.).

Raoult P.A., 2004 Le recours à l’acte : un processus archaïque Victime-Agresseur 4. Récidive, réitération, répétition. Liens d’emprise et loi des séries (Coord. L. Crocq, P. Bessoles). P. 109-128.

Raoult P.A., (2004). « Introduction à quelques prospectives sur les fonctions des psychologues cliniciens ». In De la disparition des psychologues cliniciens, P.A. Raoult (coord.), Paris, L’Harmattan, p. 95-200.

Raoult P.A., 2003 « L’acte délicieux : la jouissance du transgressif » 195-208 (13 p.) in Jouer. Le jeu dans le développement, la pathologie et la thérapeutique (coord. F. Joly) In Press.

Raoult P.A., 2002 « La part mélancolique de l’acte transgressif » (8 p.) In Victime-Agresseur 3. Traumatisme et résilience ; lien psychique – lien social (coord. E. Baccino, Ph. Bessoles). Edition Champ Social, p. 105-111 (6 p.).

Raoult P.A., (2002). « Les impasses subjectives dans l’acte transgressif ». 9-72. In Passage à l’acte : entre perversion et psychopathie. P.A. Raoult (coord.), Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A., (2002). « De la dépressivité et du narcissisme : des pathologies et situations limites en clinique ». In Le sujet post-moderne. Psychopathologie des Etats –Limites. P.A. Raoult, 13-94, Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A., (2002). « Le sexuel en tous ses états : du trajet de subjectivation à la sublimation ». In Le sexuel et les sexualités. Destins pulsionnels en pathologie. P.A. Raoult (cord.), 11-75, Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A., (2000). « Quelques occurrences à propos du transfert ». Le transfert en extension. Dérivation d’un concept psychanalytique, P.A. Raoult (Coord.), 13-37, Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A., (1999). « Contextes familiaux : entre déchirement et souffrance ». In Souffrances et violences : psychopathologie des contextes familiaux, P. A. Raoult (Coord.), 9-60, Paris, L’Harmattan.

Raoult P.A., 1994, « Le cadre thérapeutique », 10-24 (14 p.), in Abrégé de Psychomotricité, A. Calza, M. Contant, Masson, Paris.

Raoult P.A., 1993, « Question épistémologique: relation ou transfert », 21-46 (25 p.), in Les troubles psychomoteurs et le thérapeute en psychomotricité. Etudes épistémologiques, sémiologiques, identitaires, M. Contant, A. Calza, Editions Masson, Paris.

Raoult P.A., 1993, « Place et fonction institutionnelles du psychomotricien », 181-187 (6 p.), in Les troubles psychomoteurs et le thérapeute en psychomotricité, Editions Masson, Paris.

Raoult P.A., (1992). « Affiliation et historisation au sein de la configuration institutionnelle ». Cahiers de l’ANREP, Des enjeux cliniques aux implications sociales, 7, 147-158.

Raoult P.A., 1990, « Subjectivation et procès subjectif dans le cadre institutionnel », Cahiers de l’ANREP, « Penser avec l’institution », 6, 11-130, Paris.

Raoult P.A., 1989, « Etranger au cadre : troubles de l’affiliation », 27-50 (23 p.), « L’étranger. Approches culturelles, sociologiques, psychopathologiques et psychanalytiques », Actes J.E. 1988, Association pour la réadaptation et l’insertion sociale, Externat médico-pédagogique-Hôpital de jour, Jouy en Josas.