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Publié le 20 mars 2025 – Mis à jour le 20 mars 2025
le 3 avril 2025
En distanciel (visio / live)
3 avril de 18h à 20h


 

Intervenants
PR Antoine Bioye
« Mon activité - à la fois de clinique et de recherche - porte essentiellement autour de deux axes que je visite depuis un quart de siècle :
- La psychopathologie du somatique, et en grande partie la clinique de la douleur et aussi celle des soins palliatifs
- La clinique des transes, qui recouvre à la fois la question des états non ordinaires de la conscience (par exemple, la dissociation normale et pathologique) et aussi les pratiques thérapeutiques médiées par la transe (ancestrales, comme le chamanismes, jusqu’aux pratiques d’apparition plus actuelle comme la réalité virtuelle, en passant par l’hypnose, la méditation…)
Ce qui unie ces deux dimensions est la clinique du corps, de la complexité, et de l’incertitude avec une approche en psychologie humaniste, existentielle et phénoménologique. Et le fil rouge sont les processus de changement : à quelle condition « ça bouge »? Je tente de la penser à partir de ces états du corps et du travail relationnel et de médiation. Il est probable que les conditions du « ça bouge » soit en grande partie transversales aux différentes approches psychothérapeutiques »
Nadia Cailliau -Larbi
Psychologue clinicienne, en consultation douleur chronique.
Doctorante en 3ème année sous la direction du Pr. Raphaël Minjard, préparant une thèse sur un dispositif à médiation thérapeutique groupal atelier d’écriture à finalité création et diffusion de Podcasts, en clinique de l’endométriose.
Sa pratique clinique et ses axes de recherche s’organisent et s’articulent autour de la mise en récit du vécu et du parcours des patientes douloureuses chroniques et atteintes d’endométriose.
Les questions des différentes enveloppes, de la symbolisation, du féminin douloureux et de la pair-aidance sont particulièrement explorées. La médiation écriture est envisagée comme un médium permettant la symbolisation d’états somatopsychiques particulièrement désubjectivants.
Marion Ruch,
Psychologue clinicienne en CETD (centre d'évaluation et de traitement de la douleur),
Doctorante en 4e année sous la direction du Pr. Anne Brun, préparant une thèse sur un dispositif psychothérapeutique à médiation danse en douleur chronique.
Ses axes de recherche s'articulent autour de la réactualisation des traces archaïques inscrites dans le corps douloureux chronique par l'expression sensorimotrice qui se déploie dans la danse. La médiation danse est envisagée comme dispositif permettant de relancer le processus de symbolisation à partir de la remise en jeu de la chorégraphie primaire parent-bébé.
Participation libre mais inscription obligatoire :

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Informations pratiques

Lieu(x)

En distanciel (visio / live)

Affiche CORPS, DOULEUR et MEDIATION