Ce colloque international s’inscrit dans le cadre d'un projet relevant du « Soutien aux Coopérations Universitaires et Scientifiques Internationales » (SCUSI), soutenu par la Région Auvergne Rhône-Alpes et centré sur l’actualité de la criminologie clinique.
Colloque entièrement en distanciel
Participation gratuite
Ecouter le podcast :
Lien du matin : https://player.vimeo.com/video/657548632?h=cff729d1ef
Lien de l'après midi : https://vimeo.com/657550382/691264e1b8
- Programme
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Matinée
8h30 : Accueil des participant.es
9h00 : Magali Ravit - Ouverture du colloque
Président : Bruno Gravier
Discutant.es : Johan Kalonji, Barbara Smaniotto- 10h00 – 10h45 : Pascal Roman « Écriture littéraire de la violence et nar-rativité »
- 10h45 - 11h00 : pause
- 11h00 - 11h45 : Jean-Pierre Pinel « Les insurrections institutionnelles et leurs impacts traumatiques : à l'écoute du récit des alliances inconscientes »
- 11h45 - 12h30 : Benjamin Thiry et Audrey Buzon, « Enjeux contre-transférentiels en prison : une approche empirique »
Après- midi
Président : Jérome Englebert
Discutant.es : Magali Ravit, Barbara Smaniotto
- 14h00 - 14h45 : Jean-François Barre « en attente »
- 14h45 - 15h30 : Bastien Quirion « Réflexion sur la place de la narrativité dans le cadre de l'intervention auprès des personnes judiciarisées ou vulnérables »
- 15h30- 15h45 : pause
- 15h45 - 16h30 : Suzanne Léveillée « Le féminicide : représentation sociale et intimité »
- 16h30 - 17h15 : Antoine Masson « Trame d’extimité, entre la part racontable et l'irracontable »
- Discussion / Clôture des travaux
- Projet
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Ce projet s’est ouvert par un Séminaire International Francophone de Criminologie Clinique organisé à Lyon les 19 et 20 septembre 2019. Il se déroule sur une période de trois années (2019 - 2021), rythmé par un colloque annuel.
De manière générale, le projet s'inscrit dans la volonté de :
1) Promouvoir la région Rhône-Alpes dans la mesure où celle-ci, d'un point de vue historique, a été considérée comme le berceau de la criminologie française faisant contrepoids à l'école positiviste italienne. Cet ancrage historique a façonné toute une culture tournée autour du bien-fondé des échanges entre les praticiens (magistrats, médecins, anthropologues, sociologues, psychologues, professionnels de l'administration pénitentiaire, etc.) et les universitaires.
2) Construire des connaissances en appui sur les terrains de la pratique. Il s’agit d’initier des perspectives nouvelles en criminologie consistant à croiser différentes approches autour de thématiques larges et variées (articulation entre le soin et la justice, évolution des dispositifs de prise en charge et d’évaluation, prise en charge des victimes, placement des mineurs, question du consentement, radicalisation, etc.)
3) Développer un niveau international de connaissances et proposer des réflexions avancées dans le champ de la criminologie, initier des recherches interdisciplinaires de niveau doctoral en criminologie, en appui sur les laboratoires partenaires.
Informations pratiques
Lieu(x)
En ligne
Partenaires
Avec le soutien de la Région