Mise à jour le 19 janv. 2022
Publié le 15 avril 2021 Mis à jour le 19 janvier 2022

Professeur émérite – Habilité à Diriger des Recherches (HDR) au département de "Psychopathologie et Psychologie Clinique"

Georges GAILLARD
 
Fonctions et responsabilités
  • Professeur émérite – Habilité à Diriger des Recherches (HDR) au département de "Psychopathologie et Psychologie Clinique"
  • Directeur du département "Formation en Situation professionnelle" (FSP) de 09.2012 à 04.2018.
  • Responsable du dispositif "Formation à Partir de la Pratique" (FPP) depuis 09.2007
  • Responsable du "Diplôme Universitaire d’Analyse de la Pratique" (DUAPR)
  • Responsable du réseau international, inter-universitaire "Groupe et liens intersubjectifs"
Thèmes de recherche
Ses travaux de recherche se déclinent au niveau de la « clinique des institutions », de celle « des groupes institués », de la « clinique du traumatisme et du travail de la mort », ainsi que de la « clinique de la recherche et de la formation ».
Synthèse de ses recherches antérieures son travail d’HDR a pour titre : « Appareillages psychiques, destructivité et Kulturarbeit », et en sous-titre « Prendre en compte Thanatos dans la clinique des sujets, des groupes et des institutions ».
Au titre des héritages et des filiations ses travaux s’inscrivent (notamment) en reprise et en prolongement des remaniements métapsychologiques qui ont eu pour cadre le laboratoire du CRPPC : ainsi du travail autour du « négatif » (Guillaumin, Kaës, Roussillon), ceux autour des équipes (Fustier, Henri) autour des groupes et des « espaces psychiques coordonnés » (Kaës), et de la réflexion épistémologique sur les dispositifs de formation et de recherche (Henri).
  • Il contribue à la mise en place d’une clinique de l'institution. Celle-ci s'attache à penser les configurations de liens qui spécifient les ensembles inter et transubjectifs. Elle porte sur le devenir de la pulsion de mort dans les institutions de la mésinscription (soin, travail social, etc.), et notamment de son impact sur la temporalité (entre crise généalogique, et conditions de mise en œuvre d'un processus d'historisation). La transformation des métacadres qui caractérise la période actuelle conduit à se rendre attentif à la mise en crise et à la mutation des arrière-fonds sociaux et culturels, et aux incidences de ces mouvements sur la construction des collectifs de professionnels, sur le devenir des sujets, et sur la Kulturarbeit requise.
Mots clefs : institution, pulsion de mort, kulturarbeit, crise, généalogie, historisation, transmission, méta-cadres
 
  • Ces travaux se déclinent du côté de la clinique des groupes, et portent de façon spécifique sur les groupes institués. Ils prennent notamment appui sur l'apport métapsychologique de « l’École française de groupe » et de « l’École lyonnaise » et donnent de la lisibilité aux appareillages psychiques nécessités par le « vivre ensemble », et par l'investissement de la « tâche primaire » (le soin, l'accompagnement, etc.). Ils ont trait aux identifications professionnelles, aux appareillages pluri-subjectifs, et aux processus de liaison – déliaison au sein des groupes et des équipes.
    Une attention est portée aux dispositifs de régulation des groupes institués (analyse de la pratique, intervention institutionnelle, formation, recherche-action, etc.), ce qui contribue au développement d’une pensée sur les dispositifs ; notamment au niveau de leur corrélation avec les arrière-fonds institutionnels et sociétaux.
    Au niveau de ces dispositifs de régulations, il a proposé différentes modélisations qui ont trait :
    • au méta-organisateur œdipien, à la temporalité, et à leurs fonctions psychiques au sein des groupes institués.
    • à la composante narcissique, à son devenir, et ses retournements au sein de ces mêmes groupes.
    • aux « paires contrastées », dont la dialogique « féminin - phallique », en tant que mouvement qui sous-tendent les processus transformationnels au sein des équipes (capacité d’accès à l’archaïque et capacité de transformation de la négativité qui se présentifie au niveau de [et en résonance avec] la « tâche primaire »).
    • aux processus de liaison – déliaison, et au triptyque autoréflexivité, conflictualité, créativité.
Mots clefs : narcissisme, pensée, appartenances, autoréflexivité, conflictualité, phallique, féminin, appareillages intersubjectifs
 
  • Clinique du traumatisme et travail de la mort. Les défaillances graves et précoces des liens intersubjectifs, de même que les traumatismes constituent la matière première des institutions de la mésinscription. Cette importance cruciale de l’originaire et du traumatique, se rencontre également du côté de la clinique de l’humanitaire et participe des cliniques (dites) « de l’extrême ». Or ces processus deshumanisants qui altèrent le processus de la subjectivation se retrouvent aussi au cœur des demandes d’analyse et de psychothérapie.
    Ses recherches visent à éclairer la manière dont les sujets, les groupes, et les ensembles sociaux, dans leurs processus d'appropriation subjective, donnent à la mort une place ; comment l’écoute analytique (dans les différents dispositifs où elle est à même de se déployer) permet de se déprendre de « l’attraction du meurtre, et de l’auto-destruction » (N. Zaltzman), et dans ce mouvement, de régénérer les forces de vie, et la créativité qui leur est corrélée.
Mots clefs : traumatisme, humanitaire, emprise, meurtre, auto-destruction, transfert, subjectivation, créativité
 
  • Un autre pan de ses travaux porte sur la Clinique de la recherche et de la formation. Elle vise à placer la recherche sous l’égide de l’inconscient et de l’énigme constitutive du sujet. La recherche est dès lors envisagée comme une temporalité de reprise et « d’après-coup », d’une mise en faillite de l’étayage du sujet sur sa position professionnelle ; cet étayage qui lui avait permis de s’approcher de ses propres parts subjectives en attente de liaison symbolisante.
    Les dispositifs de formation sont également pensés en lien avec ce primat de la rencontre intersubjective, des nouages transférentiels qui ont cours dans le champ de la mésinscription, et de la fréquentation de l’archaïque qui le spécifie.
Mots clefs : recherche, formation, après-coup, énigme, étayage, archaïque, traumatophilie
Publications

Publications de Georges GAILLARD
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Articles à comité de lecture (ACL) publiés en langue étrangère

SILVEIRA F., FERNANDEZ M.I., GAILLARD G., (2019)«Contribuições da psicanalise para a epistemologia », Revista Ágora.Estudos em Teoria Psicanalítica, Rio de Janeiro, Brésil, (en révision)

GAILLARD G., (2016), «Los grupos profesionales, el narcisismo y la tolerancia a lo femenino »,Revista Psicoanálisis, n°18, Lima, Pérou, p. 87-101. ISSN-L : 1812-7630 ISSN asociados: 1812-7630, 2305-9311; indexé: Latindex Catálogo

GAILLARD G., (2014), «Aparelhagens psiquicas, destructividade et Kulturarbeit. Elementos para uma Clinica da instituiçao», Percurso, Revista de psicanalise n° 52, Sao Paulo,Brésil, p. 17-26.ISSN : 01.036.815

GAILLARD G., CASTANHO P., (2014), «Vínculo genealógico e o trabalho de historização em instituição», Cadernos de Psicanálise,SPCRJ, Impasses Contemporâneos, vol. 30, n. 33,Rio de Janeiro,p.119-135.ISSN : 0103-4251 indexé:PsycInfo, Psi Périódicos Association.

GAILLARD G.,GRANGE-SEGERAL E., JOUBERT C., RAVIT M., VACHERET C. (2012), «Practice analysis and kulturarbeit », Group-analysis 45-2, June 2012, London, SAGE, p. 245-256. DOI: 10.1177/0533316412440090

GAILLARD G., (2010), «Donner à la mort une place. Les groupes institués et la présence déliante de la pulsion de mort», Cahiers de Psychologie Clinique n°34 Groupes et individus, Bruxelles, De Bœck Université, p. 135-154. DOI: 10.3917/cpc.034.0135

ACL publiés dans revues indexées de langue française

GOMEZ S., GAILLARD G.(2018), «Subversion transitionnelle au quotidien des pratiques de soin et d'accompagnement », Revue de Psychothérapie psychanalytique de groupe, 2018/2 -Toulouse, Érès, p. 89-99. DOI : 10.3917/rppg.071.0101.

BRUYÈRE T., GAILLARD G.(2018), « Ensauvagement des corps, sujets en errance, et brutalité du monde », Connexions 2018/2 n°110,Toulouse, Érès, p.141-154. DOI: DOI:10.3917/cnx.110.0141

GAILLARD G. (2017), «Intervenir en institution: préserver de la groupalité et restaurer de l’intermédiaire », Revue de Psychothérapie psychanalytique de groupe, 2017/1 -n°68, Toulouse, Érès, p. 89-100. DOI : 10.3917/rppg.068.0089

CASTANHO P., GAILLARD G. (2017),« Paulo Freire,la notion de "libération”, la clinique des groupes, et l’appropriation subjective», Nouvelle revue de psychosociologie n°23, 2017/1, Toulouse, Érès, p. 197-211. DOI : 10.3917/nrp.023.0197

GAILLARD G. (2016), « La conflictualité: une modalité de lien où s’arrime la destructivité humaine », Connexions 2016/2 n°106,Toulouse, Érès, p.71-85. DOI: 10.3917/cnx.106.0071

GAILLARD G. (2016), «Autorisé à vivre? L’infans, la confusion vie-mort, et le travail d’appropriation subjective», Le Coq-Héron 2016/1 n°224. p. 97-104.DOI: 10.3917/cohe.224.0097

ROMAN P., GAILLARD G.PAYET J. (2014), «Les jeux de double et le soin dans la psychose : éloge de l'emboitement», Perspectives Psy53 n°1, p. 51-60. DOI: 10.1051/ppsy/201453151

PINEL J.P., GAILLARD G.(2013), «L'institution soignante à l’épreuve de l’hypermodernité », Bulletin de Psychologie, tome 66(4), n°526, p. 333-340. DOI: 10.3917/bupsy.526.0333

GAILLARD G., GIMENEZ G. (2013), «Narcissisme, créativité et prédation dans les groupes institués », Bulletin de Psychologie tome 66(4), n°526, p. 323-332. DOI: 10.3917/bupsy.526.0323

ROSSELLO J.J., GAILLARD G.,NEUILLY M.T. (2013), «Une institution en quête de limites. Le mythe de Tom Sawyer : un organisateur transitionnel collectif », Revue de Psychothérapie psychanalytique de groupe, 2013/1 n°60, Toulouse, Érès, p. 141-152.DOI: 10.3917/rppg.060.0141

JOUBERT C, RAVIT M., GAILLARD G,GRANGE-SEGERAL E., VACHERET C. (2013), Clinique de la violence transgénérationnelle à partir d'un dispositif de thérapie familiale psychanalytique, Cliniques méditerranéennesn° 87-2013, p. 113-126. DOI: 10.3917/cm.087.0113

GAILLARD G., PINEL J.P. (2012), «Actif –passif, féminin -phallique : le travail des polarités au sein des équipes », Nouvelle revue de psychosociologie n°14 2012/2, Toulouse, Érès, p.113-129.DOI: 10.3917/nrp.014.0113

GAILLARD G. (2011), «Tolérer l'effraction, travailler à inclure »,Cliopsy n°5, p.7-24. Revue en ligne (référencée AERES section 70 Sciences de l’éducation). ISSN: 2100-0670

GAILLARD G., PINEL J.P. (2011), «L'analyse de la pratique eninstitution: un soutien à la professionnalité dans un contexte d'emprise du modèle gestionnaire ? », Nouvelle revue de psychosociologie 2011/2 n°11, Toulouse, Érès, p. 85-103. DOI: 10.3917/nrp.011.0085

VACHERET C., GAILLARD G., GRANGE-SEGERAL E., JOUBERT C., RAVIT M. (2009),«Le temps du groupe et la transformation de l’affect», Cliniques Méditerranéennes,N° 80, Toulouse, Érès, p.339-352. DOI: 10.3917/cm.080.0339

GAILLARD G., PINEL J.P., DIET E. (2009), «Autoréflexivité et conflictualité dans les groupes institués», Nouvelle revue de psychosociologie 2009/2 n°8, Toulouse, Érès, p.199-213. DOI: 10.3917/nrp.008.019

9GAILLARD G. (2008), «Pouvoir, emprise et génération dans les institutions», Revue de Psychothérapie psychanalytique de groupe, 2008/2 n°51, Toulouse, Érès, p. 55-65. DOI: 10.3917/rppg.051.0055

GAILLARD G. (2008), «Liaison de la violence et génération. Une institution aux prises avec le refus de la temporalité», Cliniques méditerranéennes2008/2, n°78, Toulouse, Érès, p. 131-150. DOI: 10.3917/cm.078.0131

GAILLARD G. (2008), «Restaurer de la professionnalité. Analyse de la pratique et intersubjectivité», Revue de Psychothérapie psychanalytique de groupe, 2008/1 n°50 Groupes de paroles, Toulouse, Érès, p.33-46. DOI: 10.3917/rppg.050.0033

GAILLARD G. (2006), «Faire appel d'une référence, être confirmé dans ses différences, Les groupes professionnels et leurs liens à l'institution», Revue de Psychothérapie psychanalytique de groupen° 45, Toulouse, Érès, p.167-181. DOI: 10.3917/rppg.045.0167

GAILLARD G. (2004), «De la répétition traumatique à la mise en pensée : le travail psychique des professionnels dans les institutions de soin et de travail social», Revue de Psychothérapie psychanalytique de groupe n°42Les traumas, leurs traitements, Toulouse, Érès, p. 151-164. DOI: 10.3917/rppg.042.0151

GAILLARD G. (2001), «Identifications professionnelles, assignations institutionnelles et paralysies de la pensée», Revue de Psychothérapie psychanalytique de groupe 2000/2 n° 35, Toulouse, Érès, p. 185-200.ISSN :0297-1194ACLN: Autres articles

ACLN: Autres articles

A l’étranger
GAILLARD G. (2006), «Traumatisme, solitude et auto-engendrement. Annie Ernaux : "L'événement"», Filigrane, 15, 1, p. 67-86. DOI: 10.7202/013530ar

En France
BENARAB K., BOMPARD V. GAILLARD G. (2020), « Un travail "articulaire" en amont de la "tâche primaire" », «Nouvelle Revue de l’Enfance et de l’Adolescence», Éditions L’Harmattan

GAILLARD G. (2018), «Aléas dans la transmission : auto-engendrement, detted'altérité, et travail d'historisation », Revue de Psychologie Clinique et Projective, Transmissions, Toulouse, Érès, 2018/1, n° 24, p. 21-39. DOI: 10.3917/pcp.024.0021

GAILLARD G. (2009), «Se prêter à la déliaison. Narcissisme groupal et tolérance au féminin dans les institutions», Connexions 2008/2 n°90,Masculin-Féminin, Toulouse, Érès, p. 107-121. DOI: 10.3917/cnx.090.0107

GAILLARD G. (2004), «Appelés à investir, conviés à l'abstinence. L'intervention en analyse de pratique et "l'arrière-fond" institutionnel», Connexions2004/2 n°82, Groupes de parole et crise institutionnelle,Toulouse, Érès, p. 57-69. DOI: 10.3917/cnx.082.0057

GAILLARD G. (2003), «Le cheval d'Itzig, la "Formation à Partir de la Pratique" et l'Université», Connexions2002/2 n°78, Logiques conflictuelles des modèles Universitaire, Toulouse, Érès, p. 77-90. DOI: 10.3917/cnx.078.0077

GAILLARD G. (2001), «La généalogie institutionnelle et les écueils du travail d'historisation : entre filicideet parricide», Connexions2001/2 n°76, Toulouse, Érès, p. 125-141. DOI: 10.3917/cnx.076.0125

Chapitres d’ouvrage en langue étrangère ou traduits

GAILLARD G. (2019), «L’institution, le "bien commun" et la kulturarbeit»in H. Beinoglou, L. Mitsopoulou, K. Valavanidi, [dir.], "Espoir et désespoir dans les groupes, les institutions,la société, Éditions Papazisi, Athènes

GAILLARD G., PINEL J.P. (2018),«Ativo-Passivo, Feminino-Fálico : o trabalho das polaridades no seio das equipe », inA. Rodrigues Domingues, S. L’Abbate, R. J. Rusche, Análise institucional, Perspectivas contemporâneas, teorias eexperiências,São Paulo : Hucitec Editora, p. 123-143. ISBN 978-85-8404-165-7

GAILLARD G. (2015), «Grupos estabelecidos e a presença da pulsão de morte», in C. Abud [dir.], A subjetividade nos Grupos e Instituições :constituição, mediação e mudança,São Paulo: Chiado Editora, p. 223-248.ISBN: 978-989-51-3532-5

Chapitres d'ouvrages en langue française

GAILLARD G. (2019), « Comblement, dépossession, aliénation, L’institution, une scène pour les passions », in Quatrième Groupe, Actes 8,2018,Le roc de la Passion,Paris : InPress, p. 51-66. ISBN: 978-2-84835-518-4

GAILLARD G. PINEL J.P. (2019), «Actif –passif, féminin -phallique : le travail des polarités au sein des équipes », in G. Amado et P. Fustier, Faire équipe, Toulouse: Érès, p. 227-251.ISBN: 978-2-7492-6333-5

GAILLARD G. (2018), «Tolérer l’effraction, travailler à inclure», in L.M. Bossard [dir], Clinique d’orientation psychanalytique. Recherches en éducation et formation Nouvelles Recherches, Paris : L’Harmatan, p.103-121. ISBN: 978-2-343-14197-8

GAILLARD G. (2015), « Le féminin, le meurtre et la promesse d'un accueil», in Quatrième Groupe Actes 4, 2015,Paradoxes du féminin,Paris : InPress, p. 119-134. ISBN: 978-2-84835-306-7

GAILLARD G. (2015), « L’institution, le "bien commun" et le "malêtre" », in R. Kaës et al., Crises et traumas à l’épreuve du temps. Le travail psychique dans les groupes, les couples et les institutions, Paris : Dunod, p. 99-129. DOI : 10.3917/dunod.kaes.2015.01.0115

GAILLARD G. (2015), «L’institution et la liaison de la violence: un travail de Sisyphe»in D. Drieu et J.P. Pinel, Institutions et violence, Paris : Dunod, p. 193-214.ISBN: 978-2-10-072443-7

GAILLARD G. (2014), « Professionnalité et travail du lien dans les équipes », in Batifoulier F. et Touya M. [dir.], Travailler en MECS, Paris : Dunod, p. 537-556. DOI: 10.3917/dunod.batif.2014.01.0537

GAILLARD G. (2014), « Jean Furtos, La clinique psychosociale et la souffrance d’exclusion comme paradigme des situations extrêmes », in J.Y. Chagnon [dir.], 45 Commentaires de textes fondamentaux en psychologie clinique, Paris : Dunod, p. 343-350. DOI: 10.3917/dunod.chagn.2014.02.0343

TALPIN J.M., GAILLARD G. (2014), « Introduction», in G. Gaillard, J.M. Talpin, Cuvillier B. Mercader P. [dir.],Pratiques psychologiques, pratiques citoyennes. Engagement, aliénation et lien social,Paris : InPress, p. 9-16. ISBN: 978-2-84835-276-3

GAILLARD G., TALPIN J-M. (2014), « Dehors, dedans, l’intime, le politique et la psyché», in Gaillard G., Cuvillier B., Mercader P., Talpin J.M., [dir] Pratiques psychologiques, pratiques citoyennes.Engagement, aliénation et lien social,Paris : InPress, p. 163-186. ISBN: 978-2-84835-276-3

GAILLARD G. (2013), « Paul Fustier et l'imaginaire institutionnel», in Drieu D. [dir.], 46 Commentaires de textes en clinique institutionnelle, Paris : Dunod, p. 119-125. DOI: 10.3917/dunod.drie.2013.01.0119

GAILLARD G. (2013), « Confidentialité et transparence, confiance et suspicion : la précarité des liens dans les groupes institués », in Katz-Gilbert M. [dir.], Secret et confidentialité en clinique psychanalytique,Paris : InPress, p.151-172. ISBN: 978-2-84835-263-3

GAILLARD G. (2011), «Institution, position professionnelle et "travail de la culture», in Gaillard G., Mercader P., Talpin J.M. [dir.], La partialité comme atout dans les sciences humaines, Paris : InPress, p. 87-111. ISBN: 978-2-84835-221-3

GAILLARD G. (2011), «Écriture autobiographique, traumatisme et auto-engendrement. Annie Ernaux et "L'événement"», in Chouvier B. et Brun A. [dir.], Les enjeux psychopathologiques de l’acte créateur, Bruxelles : De Bœck, p. 229-248. DOI: 10.3917/dbu.chouv.2011.01.0229

GAILLARD G. (2007), «Au plus près des processus inconscients : la "Formation à Partir de la Pratique"», in Martineau J.P. et Savet A. [dir.], La formation professionnelle et les fonctions des psychologuescliniciens, Paris : L'Harmattan, p. 258-266. ISBN: 978-2-296-03118-0

GAILLARD G. (2006), «De la position héroïque du soignant à une "suffisante" professionnalité. Prendre le risque d'investir les "usagers"», in Sassolas M. [dir.], L'éloge du risque, Toulouse : Érès, p. 109-124. DOI: 10.3917/eres.sasso.2006.01.0109

GAILLARD G. (2004), «En savoir un bout», in Mercader P. et Henri A.N., [dir.], La formation en psychologie : filiation bâtarde, transmission troublée, Lyon : PUL, p. 147-162. ISBN: 2-7297-0753-0

Directions d'ouvrages

PINEL J.P., GAILLARD G.(2020) Le travail psychanalytique en institution. Manuel de clinique institutionnelle, Paris : Dunod, (février 2020).

GAILLARD G., RAVON B., BORIE H., BOMPARD V., (2020), Ricochets et interstices. Rencontre avec Paul Fustier, Toulouse : Érès (1° trimestre 2020).

GAILLARD G., CUVILLIER B., MERCADER P., TALPIN J.M. [dir.], (2014), Pratiques psychologiques, pratiques citoyennes. Engagement, aliénation et lien social, Paris : InPress, Direction de l'ouvrage.

GAILLARD G., MERCADER P., TALPIN J.M. [dir.], (2011), La partialité comme atout dans les sciences humaines, Paris : InPress. Direction de l'ouvrage.

GAILLARD G., HENRI A.N. OMAY O., (2009), Coordination et présentation de l’ouvrage Penser à partir de la pratique. Rencontre avec Alain-Noël Henri, Toulouse : Érès, 221p. DOI: 10.3917/eres.omay.2009.01

Articles dans des revues sans comité de lecture (ASCL)

GAILLARD G. (2019), «Face à la mise en transparence du monde, préserver du «clair-obscur», Quinzaines. Lettres, Arts, Idées, n°1217, Juillet 2019, p. 9-10.

BARBIERI G., GAILLARD G.(2018), «Évaporation de la responsabilité collective et dispositifs d'étayage», Rhizomen°67,Bulletin national santé mentale et précarité, Supporter le travail,p. 93-101.

CASTANHO P., Da SILVEIRA F., PINEL J.P., GAILLARD G., MENIN LAFRAI L. (2018), Ainda poderemos festejar juntos ? RevistaMente et Sérebro (São-Paolo), vol. 311, p.6-9.

GAILLARD G. (2017), «Formation, transmission, appropriation», CanalPsy n°119,Publication de l'Institut de Psychologie Université Lyon2,p.5-10.

GAILLARD G. (2016), «Restaurer l'intermédiaire: Les dispositifs d'analyse de la pratique et de régulation institutionnelles» Canal Psy n°113-114,L'analyse de la pratique», Publication de l'Institut de Psychologie Université Lyon2, p. 7-11

GAILLARD G. (2015), «Pratiques psychologies et travail de Culture,» Rhizomen°58,Bulletin national santé mentale et précarité, La participation des usagers en santé mentale,p. 19.

GAILLARD G. (2012), «Professionnalité et travail du lien dans les équipes », Les Cahiers de l'Actif n°428-429, p.83-97.

GAILLARD G. (2012) «Se formerà partir de la pratique», Revue Santé Mentale spécial formation août 2012, p. 10-12.

HENRI-MENASSE C., GAILLARD G. (2010), «Analyse de la pratique : Le travail du lien»,Revue du CREAI Rhône-Alpes 140, Lyon, p. 4-7.

GAILLARD G. (2009), «La professionnalité et la menace de disqualification», Rhizome n°33, Bulletin national santé mentale et précarité, Prendre soin de la professionnalité, décembre 2008, p. 44-47.

GAILLARD G. (2005), «Le refus de la temporalité dans les institutions», Cahiers du CRPPC n°16, La temporalité, Université Lyon2, p. 70-86.

GAILLARD G. (2005), «Besoin, désir, demande : un nouage qui spécifie l'humain», Émergence n°73, Canteleu : Éditions ANPASE, p. 15-32.

GAILLARD G. (2004), Les institutions à l'épreuve du lien. La question de l'investissement des usagers. Collège Coopératif de Bretagne.Doc en ligne : www.ccb-formation.fr/respect2/respect2.org/.../TPU08Gaillard.pdf

GAILLARD G. (2004), «S'éprouver démuni et fabriquer du groupe, intrapsychique et intersubjectivité dans l'analyse de la pratique», Canal Psy, n°64,L'analyse de la pratique : origines et enjeux», Publication de l'Institut de Psychologie Université Lyon2, p 4-6.

GAILLARD G. (2003), «Se défendre ou se déprendre. Le travail requis des professionnels dans les structures d'hébergement mères-enfants», Émergence n°70, Canteleu : Éditions ANPASE p. 95-109.

GAILLARD G. (2003), «"Où range-t-on les pantoufles ?" La psychisation de nouveaux espaces institutionnels aux risques de l'emprise», Cahier du CRPPC n° 12, L'espace, Odyssée 2001, Publications du CRPPC Université Lumière Lyon II, p.157-175.

GAILLARD G. (2002), «La violence et/ou le refus de l'autre», Objectif Soins: n°105, p. 20-22.

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